1ère PARTIE
: LE PROCES, L'HOMME ET LE CRIME
LES RAISONS DU
PROCES
Ce que n'est pas le procès
Les vraies raisons du
procès
Pourquoi et comment juger
50 ans après
pourquoi l'accusé n'a-t-il
pas été jugé dès après la guerre ?
le contexte général le
crime contre l'humanité, une notion disparue sitôt conçue
les circonstances
bordelaises que savait-on à BORDEAUX aux lendemains de la Libération ?
Maurice PAPON n'a pas été jugé car il a tout fait
pour ne pas l'être
pourquoi juger maintenant ?
comment juger 50 ans après ?- la contestation de l'instruction
L'HOMME ACCUSE
Un fonctionnaire
autoritaire et obéissant
Maurice PAPON, un homme de VICHY
Maurice PAPON à VICHY (1940-1942)
Maurice PAPON et l'application de la
politique vichyssoise à BORDEAUX (1942-1944)
Maurice PAPON, un haut fonctionnaire
apprécié de VICHY
Maurice PAPON, un haut
fonctionnaire français apprécié du Commandement militaire allemand
La Résistance ou l'antidote
Les ombres sur la
Résistance de Maurice PAPON
Les mensonges de Maurice
PAPON sur sa Résistance
La réalité sur la
Résistance de Maurice PAPON
Maurice PAPON, l'humaniste
ou la mystification
l'humanisme au service de
l'efficacité allemande
le sauvetage des Juifs des
radiations de non-Juifs aux fuites inventées et aux exemptions négociées avec
les allemands
Le pseudo conflit avec le Commissariat
Général aux questions juives, ou le masque de la collaboration
LE CRIME
Le crime allemand contre
l'humanité
les actes inhumains et les
persécutions
une dimension inhumaine
particulière
des actes pratiqués de
manière systématique
dans le cadre d'un plan
concerté
La complicité française,
une collaboration d'Etat
les motifs des allemands
les
motifs de VICHY
La répartition des pouvoirs
à la préfecture régionale de BORDEAUX
le préfet régional, un
vice-roi
le préfet délégué, un homme
en fin de carrière
l'intendant régional de
police : un conseiller du préfet
le directeur de cabinet :
un homme de confiance mais sans pouvoirs propres
le secrétaire général : un
homme de confiance qui cumule pouvoirs propres et délégation d'autorité
Les éléments légaux de la
complicité de crime contre l'humanité : l'application à Maurice PAPON
l'élément matériel pour le
compte des nazis
l'élément intentionnel agir
en connaissance de cause participer volontairement à l'acte criminel
L'obéissance aux ordres
hiérarchiques
La contrainte allemande
CONCLUSION
- LE MOBILE DE L'ACCUSE :L'OBEISSANCE ERIGEE EN VALEUR REFUGE
2ème
PARTIE : LES PREUVES
DE LACOMPLICITE
LES INSTRUMENTS DE LA
COMPLICITE
Le service des questions
juives
Le fichier des Juifs
L'autorité sur la police
Le
camp de MERIGNAC
Les relations avec VICHY
LES ELEMENTS MATERIELS DE
LA COMPLICITE
la complicité d'arrestation
la complicité de séquestration
LA DEPORTATION DE LEON LIBRACH
LA RAFLE ET LE CONVOI DE
JUILLET 1942
Une rafle et une
déportation allemandes longuement mûries
La réponse de la préfecture
: le zèle
Les éléments matériels de
la complicité de Maurice PAPON
Une défense fondée sur le
mensonge
Les
leçons de juillet 1942
LE CONVOI DU 26 AOUT 1942
LES ENFANTS
complicité d'arrestation et
de séquestration des enfants récupérés dans leurs familles, fin août 1942
complicité d'arrestation et de séquestration
des enfants en juillet 1942 complicité de séquestration des enfants internés à
MERIGNAC en août 1942
LE CONVOI DU 21 SEPTEMBRE 1942
LA RAFLE ET LE CONVOI D'OCTOBRE 1942
LE CONVOI DU 25 NOVEMBRE 1943
LA RAFLE ET LE CONVOI DE DECEMBRE 1943
LA
RAFLE ET LE CONVOI DE JANVIER 1944
LE CONVOI DU 13 MAI 1944
CONCLUSION
SUR LES CONVOIS
LA COMPLICITE D'ASSASSINAT